Une après-midi chez les commerçants Rambolitains

L'autre fois, nous avions des photos, en grand nombre (plus de 100), à faire développer. Nous nous sommes donc rendus chez un photographe Rambolitain en nous disant que ça serait plus convivial que de passer par Internet ou une machine automatique, que ça ferait vivre le petit commerce de centre ville, tout ça, tout ça... Nous avons été reçu comme des chiens dans un jeu de quille, pas de tarif dégressif pour les grands nombre, des délais disproportionnés et une amabilité plus que douteuse. Bon.
Nous avions aussi un livre à commander, un beau livre (pas un poche), que nous voulions commander dans une librairie Rambolitaine, parce que ça serait plus convivial que de passer par Internet ou une FNAC Parisienne, que ça ferait vivre le petit commerce de centre ville, tout ça, tout ça... Nous avons été reçu comme des chiens dans un jeu de quille, pas de réduction de 5%, incapable de savoir dans quel délai l'ouvrage allait finir par arriver et une amabilité assez douteuse. Bon.
Moi, je veux bien faire vivre le petit commerce du centre ville de Rambouillet, soutenir les photographes et les libraires en voie de disparition parce que Internet, le grand commerce mondialisé, tout ça, tout ça... Mais est-ce que ça arrive que CERTAINS (pas tous, heureusement!) commerçants Rambolitains remettent en question leurs pratiques? Parce que c'est facile d'accuser la ZAC du Bel Air, les commerces de Paris ou de Saint Quentin, Internet ou encore la terre entière?... Mais quand le service élémentaire au client n'est pas au rendez vous, ben......